Le corps physique & la mémoire cellulaire

Toute personne ayant vécu un traumatisme le dira : lorsqu’elle est confrontée de près ou de loin à un élément qui lui rappelle ce qu’elle a vécu, son corps réagit immédiatement. Elle peut s’arrêter au milieu du trottoir simplement parce qu’elle entend quelqu’un élever la voix à côté, comme paralysée. Elle peut sentir sa peau blanchir, son ventre se tordre, voir ses membres trembler, ses poils se hérisser, se mettre à pleurer ou courir se réfugier en lieu sûr.

Une fois la crise passée, cette même personne vous dira qu’elle n’était pas maîtresse d’elle-même. Parfois, elle ne comprendra même pas l’élément déclencheur : “Pourquoi la vue d’un bout de tissu à carreaux me met-il dans cet état-là ? Pourquoi ai-je envie de le balancer au feu ? Qu’il sorte de ma vue immédiatement !”

Ici, c’est la mémoire du corps qui agit. Qui réagit, dans son instinct de survie. Nous savons que le cerveau encode les souvenirs. Pourquoi le reste du corps ne pourrait-il pas faire la même chose ? Nous avons tendance à oublier que notre cerveau FAIT partie de notre corps, qu’il est un organe au même titre que la peau, l’estomac… etc.

Un traumatisme inscrit, imprime dans notre mémoire corporelle que telle situation est dangereuse. Il peut aller jusqu’à rendre la personne défaillante, dans le sens qu’elle n’est plus maîtresse de ses émotions, envahie par des réactions intempestives et disproportionnées par rapport à la réalité. Des réactions physiques qu’elle ne peut pas contrôler. Ce n’est pas son cerveau qui commande, c’est son corps dans son intégralité.

La mémoire cellulaire

Si nous poussons cet état de fait plus loin, nous en venons à considérer que chaque cellule de notre corps est dotée d’une mémoire. On appelle cela : la mémoire cellulaire. De quoi est-elle constituée ?

Probablement de son rôle en tant que cellule servant au bon maintien du corps dans son ensemble. Elle sait ce qu’elle doit faire pour être en santé et le rester, vivre en harmonie avec les autres, constituer un organe précis… Ce qui est déjà fabuleux en soi !

Mais il se pourrait qu’elle soit également constituée d’une mémoire héréditaire et générationnelle. En effet, notre mémoire cellulaire découle de celles de nos parents, de nos grands-parents… etc. Les grands moments de leur vie, les conditions dans lesquelles ils ont vécu ont eu un impact qui s’est inscrit dans leurs cellules et dans leurs gamètes reproducteurs. En épigénétique, les chercheurs découvrent ainsi les conséquences d’un environnement donné sur l’expression des gènes qui sont “allumés” ou “éteints” par les expériences de vie et se transmettent ainsi.

Lorsque nous avons identifié quelles mémoires nous portons, une reprogrammation cellulaire peut être envisagée pour dissoudre celles qui ne nous conviennent plus et nous desservent. Il peut s’agir d’un terrain familial propice à la dépression, d’une peur irrationnelle d’être agressé.e qui oblige notre corps à être constamment sur le qui-vive… Nos cellules portent une immense mémoire, qui ne nous appartient pas toujours.

La mémoire collective et transgénérationnelle

Nous avons en nous inscrite une mémoire collective, ancestrale, et une mémoire singulière. Celle de nos ascendants, celle de notre histoire familiale. Notre corps possède la mémoire de notre Vie, dont chaque “morceau” est logé quelque part dans le corps.

Il arrive régulièrement que ces mémoires créent des blocages physiques et énergétiques, voire des maladies. On a sans cesse mal à la dent, mais médicalement, tout est OK. Au niveau de notre propre mémoire – celle qui nous appartient, régie par les souvenirs que nous avons vécu personnellement – tout est OK. Mais alors, d’où peut venir cette douleur ? On ne l’invente pas, tout de même… !

Qu’essaie-t-elle de nous dire ?

Il est probable que l’émotion et le souvenir cachés derrière cette dent appartienne à l’un de nos ascendants. Ce peut être de la colère face à une injustice qui n’a jamais été réglée et qui ressurgit, aujourd’hui, en soi. Pour guérir, une seule solution : accueillir, régler et transformer.

OBJECTIFS DE CETTE MÉMOIRE

La Mémoire Cellulaire a pour objectif d’accompagner chacun sur un chemin de transformation, d’évolution, et d’Autonomie, en aidant à faire remonter à la conscience, afin de les désactiver, les mémoires engramées dans le corps et qui entravent l’énergie de vie.
Le chemin consiste à faire émerger à la conscience nos mémoires, les éclairer d’un jour nouveau à travers les évènements de notre vie, en comprendre le sens pour les accepter afin que cela se transforme et nous libère.

Cette Transformation passe par des étapes successives : VOIR / ACCEPTER / TRANSFORMER sous couvert de RESPONSABILISATION.

Ces phases, parfois difficiles à traverser puisque l’on y traite de la notion de sa propre « responsabilité » sont indispensables à vivre car elles font passer le sujet de statut de victime au statut de Co-responsable et ce n’est que par l’éprouvé de cette expérience que peut se faire, ensuite, la “libération”.

Mais comment peut-on accepter ? Parfois même l’inacceptable ?

C’est à la fois par la Compréhension mais aussi en acceptant, tout simplement, que CELA nous dépasse.
Sans compréhension, l’acceptation n’est que de surface, elle se fait au forceps et ne fait que ré inscrire dans le temps l’évènement qui surviendra une nouvelle fois (selon la loi du rythme) comme un évènement proposé pour résoudre le conflit sous-jacent.
Accepter, c’est reconnaitre que les évènements qui surviennent dans notre vie ont 2 caractéristiques :

  1.  Ils sont les plus à même de nous aider à résoudre la problématique de notre ombre et c’est en cela que nous les remarquons particulièrement (un même évènement n’est pas vécu de la même façon par tous).

  2. Ils surviennent dans notre vie et nous sont « proposés » à plusieurs reprises jusqu’à temps que nous acceptions de les regarder pour les transformer.

Accepter, c’est faire pleinement adhérer toutes les cellules de son corps.
L’acceptation, c’est la vibration à l’unisson de toutes les cellules du corps dans une même direction, comme les 32 métronomes désunis de la vidéo qui s’harmonisent tout seuls pour vibrer à l’unisson.

Rapporté à l’homme, ces métronomes posés sur un même support symbolisent les cellules à l’intérieur de notre corps. Le désordre crée le chaos. Si nous acceptons alors TOUT notre corps avance dans la même direction avec la force de l’unité.
Travailler en mémoire cellulaire, c’est redonner cette harmonie à son esprit
C’est redonner cette harmonie à toutes ses cellules pour qu’elles ne fasse plus QU’UN, le corps, tendu vers un seul objectif, son accomplissement.

JE T’ACCOMPAGNE POUR COMPRENDRE TES BLOCAGES, TES FREINS DANS TON CORPS PHYSIQUE !!

Mais pas que …